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Actualité de la rénovation à gauche
22 juin 2007

Sept candidats à la présidence du groupe PS à l'Assemblée

Sept candidats à la présidence du groupe PS à l'Assemblée

SEPT CANDIDATS EN LICE POUR LA PRÉSIDENCE DU GROUPE PS
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PARIS (Reuters) - Sept députés - un chiffre record - sont en lice pour l'élection lundi du président du groupe socialiste de l'Assemblée nationale.

Vendredi à midi, dernier délai pour se présenter, trois proches de Ségolène Royal pendant la campagne présidentielle avaient fait acte de candidature : Jean-Marc Ayrault, président du groupe, élu en 1997 puis réélu en 2002, Arnaud Montebourg, déjà candidat en 2002, et Bruno Le Roux.

Deux députés candidats sont proches de l'ancien Premier ministre Lionel Jospin, Jean Glavany et Marylise Lebranchu.

Henri Emmanuelli est également sur les rangs. Pilier du Nouveau parti socialiste (NPS), le député des Landes a déjà été président de l'Assemblée nationale et président de la commission des Finances.

Enfin, Philippe Martin, 43 ans, se présente au nom du renouvellement des générations. Membre de la jeune garde entourant Laurent Fabius, le député du Gers concède être "moins capé que les autres" candidats mais promet de travailler de manière "non sectaire" et de "dénicher les pépites dans toutes les sensibilités" du PS.

Pour Benoît Hamon, co-fondateur du courant NPS, il faut à la tête du groupe "un parlementaire en capacité de faire travailler tous les députés ensemble" et surtout qui ne soit "pas issu d'une famille de présidentiable".

Face à une droite "dure sur les questions sociales, nous avons besoin d'un gauche résolue et décomplexée puisque ce mot est à la mode", a déclaré le député européen sur BFM.

Pour la présidence de la commission des Finances, qui selon, la volonté du président Nicolas Sarkozy, sera attribuée à l'opposition, trois candidatures ont été enregistrées : celle de Jean-Marie Le Guen, proche de Dominique Strauss-Kahn, de Didier Migaud, porte-parole du groupe sortant pour les questions budgétaires et fabiusien, et de Michel Sapin, ancien ministre de l'Economie et membre de l'équipe de campagne de Ségolène Royal.

Le groupe socialiste, qui rassemble 186 députés sans compter les apparentés, se réunira lundi à partir de 15h30 pour procéder à ces élections internes, la veille de l'ouverture en séance de la XIIIe législature.

Le vote à bulletin secret se joue à la majorité absolue des suffrages exprimés aux deux premiers tours, à la majorité relative au troisième.

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Commentaires
Y
le lien pour la page du député-Président du Conseil Général du Gers fabiusien de 54 ans est :<br /> <br /> http://www.assemblee-nationale.fr/12/tribun/fiches_id/267278.asp
Y
Incroyable de lire autant d'approximations et d'erreurs dans cette dépêche.<br /> <br /> 1 - Ayrault ne se déclare pas proche de Ségolène Royal et a depuis quelques temps et à maintes reprises repris toute son autonomie notamment en soutenant depuis plusieurs semaines le rythme de François Hollande contre la volonté de Ségolène Royal d'accélerer la rénovation.<br /> <br /> 2 - Marylise Lebranchu n'est pas une "proche" de Jospin, mais simplement une de ses anciennes ministres. Elle a soutenu DSK dans la désignation interne et constitue donc la candidate de la sensibilité de Dominique Strauss-Kahn.<br /> <br /> 3 - Henri Emmanuelli n'est plus un pilier du NPS, pusique cette sensibilité n'existe plus réellement après avoir perdu ses deux co-fondateurs historiques (Montebourg trahi et parti après la synthèse du Mans et Peillon évincé pour avoir soutenu Séglène Royal)<br /> <br /> 4 - Philippe Martin, par ailleurs également président du Conseil Général du Gers, n'a pas 43 mais 54 ans... Il est né en 1953. Difficile donc de parler de renouvellement que ce soit du point de vue de l'age que du point de vue du non-cumul des mandats (source Assemblée Nationale http://www.assemblee-nationale.fr/12/tribun/fiches_id/267278.asp)
J
On ne tire pas sur une fleur pour la faire pousser plus vite. Les vieux éléphants font partie intégrante de la jungle politique. Les stratégies de l'échec sont celles du manque de savoir faire quant à la transformation des richesses de la diversité en force de conviction au sein du parti comme du pays.<br /> Oui ! "Faire travailler tous les députés ensemble" <br /> <br /> Jean-Claude Ménard
A
Un choix s'impose aujourd'hui:<br /> <br /> La modernité, l'ambition du renouvellement, la force de proposition et de conviction: Montebourg président du groupe PS !<br /> <br /> Contre la marche lente et cadencé de vieux éléphants.<br /> <br /> Il faut en finir avec cette compulsion morbide du PS à empreinter des stratégies voués à l'échec.
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